De telles relations amicales visent à favoriser l’inclusion et la participation des membres filleuls au sein de la société. Pour tout dire, ça fonctionne très bien et au final, ce sont nos communautés entières qui en bénéficient, elles aussi!
Un jumelage, ça fait quoi ensemble?
Et que font les duos une fois qu’ils sont intelligemment jumelés et présentés? Tout simplement les activités qui leur plaisent, idéalement en dehors de la maison, à raison d’un p’tit 3 heures par mois. Le tout est encadré par l’organisme, afin de lever le maximum d’obstacles qui pourraient se dresser sur le chemin enrichissant de leur relation.
Parrainage civique lance ainsi un appel aux citoyens qui aiment bien marcher en dehors des sentiers battus et qui ont du temps à partager. Venez vivre avec nous une expérience qui sort de l’ordinaire!
Informez-vous au 450 774-8758
Bonnes journées internationales à toutes et à tous et une panoplie de mercis à nos précieux bénévoles!
Les ateliers ont été conçus pour adapter les informations et les rendre accessibles, surtout pour les personnes vivant avec une déficience intellectuelle.
Les participantes ont non seulement acquis de nouvelles connaissances, mais elles ont également renforcé leur estime de soi. Grâce au soutien financier du gouvernement du Québec/Secrétariat à la condition féminine, nous avons pu offrir un espace sécurisant où les participantes ont pu mieux comprendre les différentes formes de violence et apprendre à se protéger.
Ensemble, construisons un monde où chaque personne, quelle que soit sa capacité, se sent en sécurité et respectée.
On dit que ça prend un village pour « élever » un enfant… Au Parrainage civique, nous savons que ça prendra aujourd’hui plus que ce village et 30 ans de désinstitutionalisation investi par l’État pour aider les familles vieillissantes à veiller sur leurs enfants, qui ont toujours la même déficience intellectuelle lorsqu’ils sont devenus grands.
Un petit historique en déficience intellectuelle
S’il y a 100 ans, dans nos communautés principalement rurales, les personnes ayant un tel handicap étaient relativement et naturellement bien intégrées et « gérées » au sein de leur village ou de leur campagne, il en va très différemment suite à l’ère de l’urbanisation d’après-guerre… Les familles francophones n’ayant pas l’argent pour embaucher de l’aide, les hôpitaux psychiatriques, complètement gérés à l’époque par les religieuses, se sont excessivement remplis de ces enfants. Le déficit intellectuelle n’étant pas une maladie, ces gens pouvaient très bien être en santé, mais étaient incapables de rester seuls à la maison. Sans l’expertise pour stimuler et bien accompagner ces enfants différents vers leur plein potentiel, la déficience intellectuelle était en quelques sortes « entretenue » par ces milieux défavorisés.
Arrivée de l’expertise et de l’État-providence
Dans les années 50, l’expertise en travail social, en psychoéducation et en éducation spécialisée s’est de plus en plus répandue. Les centres hospitaliers se bonifient et se multiplient tranquillement. Puis, la décennie suivante voit l’avènement de l’État-providence qui s’attribue une responsabilité envers ces gens plus vulnérables. Avec des connaissances grandissantes et de généreux investissements du gouvernement, il est de plus en plus possible, pour les individus avec déficience intellectuelle, de rester dans leur famille tout en bénéficiant des nouveaux services. À la fin des années 80, on parle ainsi d’une désinstitutionalisation complétée.
Retour en arrière?
Malheureusement, par la suite, ce fort mouvement d’intégration et d’inclusion semble s’effriter avec l’amoindrissement des fonds de l’État. C’est ainsi que la responsabilité de s’occuper de leurs gens déficients est, dans les années 2000, de retour dans les familles. Et comme ces dernières sont vieillissantes, elles ont de plus en plus besoin de soutien pour veiller sur leurs enfants, même s’ils sont devenus grands.
Vieillissement des familles
Les Parrainage civique, qui s’efforcent de favoriser la participation sociale de ces humains si attachants, s’inquiètent donc pour le futur de plusieurs de leurs membres. Assistera-t-on à un retour en institution? Ou pire, est-ce que certains tomberont dans les trous du filet social pour se rendre jusque dans la rue? La mobilisation de l’État et de la communauté est à notre avis impérativement toujours nécessaire! Les organismes communautaires ont grandement besoin d’aide financière ET de citoyens bénévoles afin de perpétuer leur mission d’inclusion!
L’espoir n’est pas mort. Surtout si collectivement, on réussit à se remettre en tête que la déficience intellectuelle n’est pas qu’une histoire de gênes et de malchance; c’est aussi une histoire d’inégalités sociales encore trop présentes dans nos communautés. Et ça, ça se travaille en étant solidaire les uns des autres, comme dans nos villages de l’ancien temps et avec tous les précieux bénévoles que nous remercions ici chaudement.
Julie Gosselin, Parrainage civique des MRC d’Acton et des Maskoutains
Le 25 septembre de chaque année, la vingtaine d’organismes de Parrainage civique soulignent, chacun à leur manière, l’importance et la contribution de leur mission d’amitié au bien-être des individus et de la communauté.
Il faut d’abord dire que les organismes de Parrainage civique du Québec ont un impact social très positif et pas que sur leurs membres filleuls! Nous rappelons, qu’ici, la mission principale du Parrainage civique est de créer des jumelages d’amitié entre des citoyens bénévoles et des personnes vivant avec une déficience intellectuelle, avec une limitation physique ou encore des personnes autistes. Ces relations amicales s’inscrivent dans une belle réciprocité, gagnante autant pour les membres jumelés que la communauté en entier!
Nous pouvons aisément imaginer les bienfaits d’une telle amitié sur la qualité de vie et sur l’estime et la confiance en soi des membres filleul(e)s. Alors, nous nous penchons aujourd’hui sur les apports aux autres parties…
Pour les bénévoles, créer des liens significatifs avec une personne différente, être témoin de sa vie, de sa réalité et de l’aider à y cheminer, procurent un fort sentiment d’accomplissement et de satisfaction qui est bénéfique tant pour la santé mentale que physique. En contribuant au mouvement du parrainage civique, les bénévoles ont aussi le sentiment de prendre part à un changement social et d’avoir un impact positif dans leur communauté.
Parmi les citoyens d’ici, nos parrains et marraines ne sont d’ailleurs pas gênés de le dire :
« Maryse m’apprend la patience et le lâcher-prise » – France.
« Anabel m’enseigne à vivre pleinement le moment présent » – Sophie
« Caroline me permet de fixer du temps de qualité à mon agenda pour faire des activités moins habituelles … J’ai aussi appris à quel point c’est intéressant et enrichissant d’échanger avec des personnes différentes de nous. » – Ève
La relation de jumelage favorisant ainsi toutes les personnes impliquées, il est logique d’en déduire que plus d’actions positives sont prises dans la communauté. Plus d’apprentissages et de développements des habiletés, donc plus de travailleurs en emploi, plus de bénévolat et plus de participation sociale en général et surtout plus de solidarité!
Comme le dit si bien le Regroupement Québécois du Parrainage civique (RQPC), les personnes qui s’impliquent au sein de ce projet de société sont, au final, de véritables agents de transformation sociale. Au-delà du parrainage, l’action du mouvement contribue à combattre la stigmatisation et la discrimination à l’égard des personnes ayant une incapacité et à lever les barrières engendrant des situations de handicap. Son action encourage ainsi une société plus inclusive de tous ses membres, quelles que soient leurs capacités.
En terminant, nous désirons faire un appel d’entraide à la population, les Parrainage civique ont toujours besoin de nouveaux bénévoles. Actuellement, pour notre région, 16 membres filleuls ont hâte de rencontrer leur futur ami pour échanger et s’amuser. Peut-être est-ce toi qui lis ces lignes? Viens vivre l’aventure d’une amitié qui sort de l’ordinaire! 450-774-8758
Le 30 juillet souligne à chaque année, l’indéniable importance de l’amitié au fil de la vie de n’importe qui.
Une citation qui en dit long
Tout petit enfant, on se fait des amis sans même voir les différences qui plus vieux nous importent pourtant tant… Dès la préadolescence et même avant, nous interagissons de plus en plus selon le regard de la société et de celui de nos parents. Puis, c’est au sein de l’adolescence que nos amitiés sont les plus sélectives et surtout plus influentes que jamais! C’est en effet au cours de cette tumultueuse période, que nous « choisissons » ainsi nos valeurs et nos opinions, qui seront, fort heureusement, en constante évolution. Aussi bien s’ouvrir dès que possible à la diversité et à l’inclusion, puisque ce ne sont clairement pas les préjugés qui nous feront évoluer en tant que société!
L’accueil de l’autre tel qu’il est se voit parfois à nouveau avec la sagesse d’une vie qui tire tranquillement vers la fin. En fait, à tout âge l’être humain est en mesure de retrouver la pureté de son cœur d’enfant et d’embrasser la différence comme une des plus grandes richesses de son existence.
Des bénévoles de l’amitié bien particuliers!
Au Parrainage civique, nous ne sommes pas certaines si nos bénévoles ont su conserver leur cœur d’enfant ou s’ils ont déjà la sagesse de certains de nos anciens. Il nous semble toutefois évident, qu’ils ont tous conscience que cette amitié qu’ils offrent à leur filleul(e)- une amitié qui, disons le, sort clairement de l’ordinaire- contribuera à leur propre épanouissement ainsi qu’à celui de notre communauté.
Merci à tous ces parrains et marraines de nous aider dans notre mission collective; les personnes vivant avec un handicap ont elles aussi envie et besoin de « s’emparer du monde » avec un précieux complice! Merci aussi aux futurs bénévoles qui nous rejoindront dans l’aventure de ces amitiés surprenantes et si enrichissantes!
Julie Gosselin, responsable des communications au Parrainage civique des MRC d’Acton et des Maskoutains
« L’ami est un complice qui nous aide à nous emparer du monde! » – Francesco Alberoni
P.S. Cliquez ici pour d’autres textes sur le sujet écrits par votre Parrainage
Re P.S. Voici aussi un excellent texte de Stéphane Laporte sur cette journée qui pour nous a toujours été particulièrement importante! Clique ici!
Parrainage civique aussi vous invite à engager la conversation avec ces personnes aux capacités différentes. Vous découvrirez ainsi des mondes débordants de richesses, de beauté et de chaleur humaine!
Surmonter sa peur de ne pas se comprendre, pour être cent fois récompensé par des personnalités scintillantes d’authenticité! Un retour à la base sacrée qui ne l’est peut-être justement plus assez… Si une simple discussion de quelques instants puisse être si inspirante, imaginez si vous développez une amitié ?!
Au Parrainage civique, notre mission est justement de créer des ponts en formant de ces relations spéciales et rayonnantes de bienveillance. Les parrains et marraines (citoyens bénévoles) font avec leur filleul.es les activités qui leurs plaisent et pour tout vous dire, ça change bien souvent autant la vie du bénévole que celle du membre filleul. 😊 1er-au-7 juin semaine-quebecoise-des-personnes-handicapees 2024
Laissez-vous tenter pour une de ces amitiés; Le Parrainage civique est toujours à la recherche de nouveaux bénévoles!
450-774-8758 parrainagecivique.org
Julie Gosselin, responsable des communications
Parrainage civique des MRC d’Acton et des Maskoutains
Le Parrainage civique vous jase de la Journée mondiale des mobilités et de l’accessibilité et non, nous ne parlerons pas du prix du gaz! 😊
Depuis 2011, le 30 avril de chaque année souligne l’importante Journée mondiale des mobilités et de l’accessibilité. Aujourd’hui, votre organisme de Parrainage civique désire s’exprimer sur cet important sujet, afin de d’inviter la population à encore plus d’inclusion.
L’accessibilité se définit par la capacité d’une personne à avoir accès à son environnement, aux lieux, aux biens et aux services. La mobilité c’est la faculté de se déplacer dans cet environnement. Évidemment les deux notions sont étroitement liées…
Les enjeux d’accessibilité et de mobilité sont déjà bien présents pour à-peu-près n’importe qui, mais la Journée mondiale s’intéresse surtout aux personnes ayant des particularités qui peuvent les limiter dans leur vie de tous les jours. On pense par exemple aux personnes âgées, aux femmes enceintes, aux personnes vivant avec une déficience intellectuelle, les non-voyants, les personnes se déplaçant en roulant et même celles aux limites sensorielles. Tant de profils auxquels on se doit de penser lorsque vient le temps de bâtir, d’ouvrir une entreprise, d’offrir du transport et tous ces autres biens ou services courants.
L’idée va bien au-delà du nombre de places de stationnement pour personnes à mobilité réduite! Notre société étant essentiellement construite selon les besoins et les envies de la majorité, il reste encore bien du chemin à faire pour atteindre l’accessibilité universelle. Le Parrainage civique est d’ailleurs bien placé pour le savoir…
Les enjeux d’accessibilité vus par le Parrainage civique
En effet, l’organisme œuvre à créer des amitiés entre des citoyens bénévoles (parrains et marraines) et des personnes vivant avec des différences de capacité (filleuls) et nous avons donc constamment à composer avec certains des obstacles au niveau de la mobilité et de l’accessibilité. Par exemple, lors des activités qui se font au sein de nos différents jumelages, il est évident que le bénévole facilite généralement le transport de son filleul. De plus, simplement par sa présence et sa bienveillance, les parrains et marraines permettent à leur filleul d’accéder dignement à un environnement qui ne lui est pas toujours très bien adapté.
Les enjeux de mobilité et d’accessibilité se font aussi sentir au travers des activité de groupe de l’organisme. La majorité utilise le transport adapté, impliquant donc des horaires limités et des invités qui parfois, arrivent ou repartent en temps décalés. Choisir un bon moment pour l’activité devient ainsi plus compliqué et la sélection d’un local ou d’un lieu de sortie accessible pour tous peut l’être tout autant! Toutefois, il est vraiment appréciable de voir les commerces s’ajuster comme ils le peuvent afin de nous accueillir et de bien nous servir. Merci infiniment à eux!
Le Parrainage s’engage à continuer avec ferveur sa mission de sensibilisation, grâce entre autres à nos rayonnants jumelages d’amitié! Nous recherchons d’ailleurs constamment des bénévoles engagés, pour ensemble contribuer à bâtir un monde plus inclusif. Passons le mot!
450 774-8758
Julie Gosselin, responsable de la vie associative et des communications
DU 14 AU 20 MARS, PARRAINAGE CIVIQUE CÉLÈBRE LA 50E SEMAINE DE L’ACTION BÉNÉVOLE.
Vient un temps dans la vie où on réalise que ce n’est pas vraiment l’argent qui fait le bonheur. On aspire tous plus qu’à travailler pour en gagner, puis à le consommer. On voudrait en fait tous donner plus de sens à notre existence… C’est entre autres pour cette raison, que 80% des québécois sont entrés dans le merveilleux monde du bénévolat, que ce soit en étant attaché à un organisme ou pas.
Si autrefois, au Québec, la religion nous influençait beaucoup à aider notre prochain, aujourd’hui les gens commencent essentiellement à faire du bénévolat par plaisir ou par intérêt pour une activité ou une cause particulière. Puis, ce qui les pousse bien souvent à continuer, c’est leur envie de contribuer à leur communauté en y mettant à profit leurs propres compétences.
En visitant le site web Je Bénévole, on remarque que plusieurs secteurs d’activités s’offrent à ceux désirant rejoindre l’action bénévole. Le plus populaire actuellement dans la province, est le domaine de la culture et des loisirs (37%), suivi de celui des services sociaux (28%) et de la santé (19%). Plusieurs autres secteurs ont aussi grandement besoin de volontaires afin de pouvoir rouler plus rondement.
L’humain étant un animal social, il est normal que le bénévole veuille justement avoir accès à développer cet aspect. Ce qui m’amène naturellement à vous parler d’un bénévolat qui rime avec amitié, auprès d’un organisme nommé Parrainage civique. Nos parrains et marraines font partie de ces gens qui bâtissent des ponts entre les plus privilégiés de la société et ceux qui vivent avec des différences de capacité. Nous créons ainsi des amitiés plutôt colorées, où règne une inspirante et rafraîchissante authenticité. Les duos, trios et même des quatuors, font simplement ensemble les activités qui leur plaisent, idéalement en dehors des demeures de nos membres filleuls qui gagnent tellement à être connus!
Faire partie de l’action bénévole est selon nous un des plus importants rôles sociaux et il contribue grandement à l’estime personnelle de chacun, même si personne ne vous dira qu’il fait du bénévolat exactement pour ça… D’ailleurs, peu importe le type de bénévolat qu’il choisit, le volontaire aussi en tire grandement profit! Si finalement tout le monde en sort plus fort, pourquoi ne pas s’en donner à cœur joie et ainsi rendre nos communautés plus aptes à faire face à l’adversité et aux obstacles?
Bonne semaine de l’action bénévole à tout le monde et mille mercis aux parrains, marraines et autres précieux anges bénévoles!
Le Parrainage civique des MRC d’Acton et des Maskoutains, le Centre Louise Bibeau et le Regroupement Maskoutains des Utilisateurs du Transport Adapté (RMUTA) soulignent en vidéos la 36e édition de la Semaine Québécoise de la Déficience Intellectuelle (SQDI) qui se déroule cette année du 17 au 23 mars sous le thème de « J’ai ma place! »
Il n’est pas si loin le temps où les personnes ayant une déficience intellectuelle étaient automatiquement institutionnalisées dès leur diagnostic. Aujourd’hui, elles ont de plus en plus leur place au sein de la communauté et ce, tant au niveau du travail, du transport, de l’habitat, de l’école, du système de santé et même des loisirs… L’objectif ultime est leur inclusion la plus parfaite possible à notre société.
Plusieurs ressources existent déjà, mais il reste encore bien du travail à faire pour aider concrètement ces personnes plus vulnérables ainsi que leurs proches. Cette année pour la SQDI, trois de ces organisations de la région se sont à nouveau réunies afin de mieux sensibiliser la population à la réalité des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.
Des vidéos en guise de sensibilisation
C’est ainsi que le 7 mars dernier, le comité formé du Parrainage civique, du Centre Louise Bibeau et du RMUTA lançait sa campagne virtuelle « J’ai ma place » en en présentant les courtes vidéos vouées à circuler sur les réseaux sociaux à partir du 17 mars. Le comité vous invite à visionner ces petites vidéosicicomme sur Facebook ou Instagram et bien sûr à les partager sans limite!
Car c’est en agissant ensemble que chacun trouve sa place!
Bonne Semaine Québécoise de la Déficience Intellectuelle! Pour voir l’exposition d’œuvre d’art de l’an dernier c’est ICI!
Le Comité régional de la SQDI
1 – Olympiques spéciaux, Chloé – Présidente d’honneur de la semaine Maskoutaine
J’ai ma place; Chloé, athlète des Olympiques spéciaux et Présidente d’honneur de la Semaine québécoise de la déficience intellectuelle Maskoutaine 2024.
2 – Député, Simon-Pierre Savard-Tremblay
Campagne J’ai ma place. Simon-Pierre Savard-Tremblay, député de Saint-Hyacinthe-Bagot.
3 – Maire, André Beauregard
Campagne J’ai ma place. André Beauregard, Maire de Saint-Hyacinthe.
4 – RMUTA , Amanda
Campagne J’ai ma place. Amanda Cox du Regroupement maskoutain des utilisateurs du transport adapté.
5 – Les Ateliers Transition, Éric
J’ai ma place; Éric, travailleur à Les Ateliers Transition.
6 – Centre Louise Bibeau, Nicolas
J’ai ma place; Nicolas, participant à des activités du maintien des acquis au Centre Louise Bibeau.
7 – Parrainage civique, Maryse
J’ai ma place; Maryse, jumelée au Parrainage civique.
8 – Centre d’éducation des adultes Saint-Hyacinthe-Acton, Myriam et Gabriel
J’ai ma place: Myriam et Gabriel, étudiants au Centre d’éducation des adultes de Saint-Hyacinthe-Acton.
Parrainage civique des MRC d’Acton et des Maskoutains souligne la 36e édition de la Semaine Québécoise de la Déficience Intellectuelle qui se déroule, cette année, du 17 au 23 mars sous le thème de « J’ai ma place! »
Il n’est pas si loin le temps où les personnes ayant une déficience intellectuelle étaient automatiquement institutionnalisées dès leur diagnostic. Aujourd’hui, elles ont de plus en plus leur place au sein de la communauté et ce, tant au niveau du travail, du transport, de l’habitat, de l’école, du système de santé et même des loisirs. Ces citoyens veulent eux aussi pouvoir vivre intensément, décider pour eux-mêmes et contribuer à la société. Nous sommes d’ailleurs tous en droit d’avoir l’espace nécessaire pour s’épanouir et atteindre notre plein potentiel.
Le Parrainage civique a aussi sa place!
Il ne faudrait toutefois pas se cacher qu’il reste encore bien du travail afin de lever au mieux les obstacles qui freinent la participation sociale de ces personnes et qui les placent en situation de handicap. Plusieurs ressources pour les aider, elles et leurs proches, existent déjà au sein de la communauté et parmi elles, se démarque la philosophie du Parrainage civique. Selon son Fondateur, le Dr Wolf Wolfensberger, le parrainage se base sur un principe qu’il trouve tout simplement merveilleux: « Le faitde réunir des personnes handicapées et non handicapées contribue à combler le fossé qui existe souvent entre le monde « d’en bas » et les privilégiés de la société. »
Le Parrainage civique créé effectivement des amitiés un peu spéciales qui changent bien souvent la vie des filleuls autant que celle des parrains et marraines. Les liens solides qui s’y tissent augmentent considérablement l’estime et la confiance en soi des membres, ce qui se répercute positivement dans toutes leurs autres relations.
Pour les filleuls, le simple fait d’avoir un nouvel ami avec lequel faire des activités, c’est énorme et au final, c’est toute la société qui s’enrichit de ces doses régulières de bienveillance, d’empathie, d’authenticité et de solidarité humaines.
Merci à tous nos anges bénévoles passés et actuels et merci à tous ceux à venir, puisque le Parrainage civique est toujours à la recherche de nouveaux parrains et marraines!
N’hésitez pas à nous contacter au 450-774-8758 pour en savoir plus et bonne semaine de la déficience intellectuelle à toutes et à tous!
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.