Et si plus de chaleur humaine accompagnait votre novembre, le mois des morts?
On le sait tous, au moins vaguement; novembre est le mois des morts.
En effet, dans la tradition chrétienne, ce mois est consacré à la mémoire de ceux qui nous ont quittés, particulièrement les 1er, 2ème et 11ème jour de novembre. Mais au-delà des rituels, novembre porte aussi un poids plus subtil : celui des journées qui raccourcissent, du froid qui s’installe, du vent qui dépouille les arbres de leurs dernières couleurs. C’est le moment où la nature se retire lentement dans le silence de l’hiver, et où nos cœurs, parfois, se font plus lourds.
Et si, justement, nous choisissions collectivement de faire de novembre, un mois pour raviver la chaleur humaine?
Et si, au lieu de le subir, nous décidions d’en faire une période d’empathie et de rencontre ? Ce ne serait sans doute pas utopique de croire que la grisaille pèserait moins, que la solitude s’allégerait, et que les « réjouissances » de fin d’année à venir prendraient, pour certains, un sens nouveau et plus humain.
La chaleur du Parrainage civique
La bonne nouvelle est que c’est précisément ce que fait le Parrainage civique : il transforme la bienveillance en lumière et en chaleur en créant des amitiés qui sortent du moule!
Par de simples rencontres, par trois heures offertes chaque mois, des bénévoles tissent des liens avec des personnes vivant avec une incapacité. Ensemble, ils prennent un café, se promènent, rient, partagent — et rappellent que la chaleur humaine n’a pas besoin de grands moyens pour exister.
Ces duos d’amitié font bien plus que briser la solitude : ils valorisent les personnes et nourrissent un sentiment d’appartenance essentiel à la vie communautaire. En offrant un peu de temps, les bénévoles reçoivent bien plus qu’ils ne donnent : une relation sincère, un apprentissage mutuel et la preuve tangible que de petits gestes peuvent réellement changer une vie et même une communauté!
Deviens ami-bénévole!
Alors, en ce mois de novembre, si on choisissait de célébrer les vivants au moins autant que les morts? De tendre la main, d’offrir un peu de notre temps pour rallumer chez l’autre, et peut-être en nous-mêmes, une lumière qui ne s’éteint pas.
450.774-8758
Julie Gosselin, responsable des communications